« La méthode permet de sortir de l’impasse thérapeutique. »

Retrouvez le témoignage de Stéphane Vouillot, MKDE, ostéopathe, préparateur mental et praticien Allyane à Strasbourg. Il revient sur l’apport la méthode dans sa prise en charge des inhibitions motrices et comment il l’a intégrée dans sa pratique quotidienne.

 Pourquoi avez-vous décidé de vous former à la méthode Allyane ?

 J’ai découvert Allyane par l’intermédiaire d’un patient que j’avais eu en traitement après un gros accident en moto au niveau de l’épaule et qui était ensuite parti sur Lyon.

Un jour il m’a envoyé une photo de son épaule quasi récupérée alors que nous étions en quasi échec thérapeutique. Donc je l’ai contacté en voulant savoir ce qu’il avait fait, et il m’a expliqué qu’il avait suivi une séance Allyane.

J’ai donc assisté à une séance avec lui. J’ai été séduit par l’approche et la technique Allyane donc j’ai enchaîné sur la formation pour devenir praticien.

Quel a été l’apport de la méthode dans la prise en charge de vos patients ?  

 C’est une méthode qui donne une autre approche dans le suivi du patient. En effet, avant nous n’allions pas forcément chercher cette notion d’inhibition motrice dans les pathologies de l’épaule, on essayait de récupérer les amplitudes, la force.

Allyane permet de sortir d’une impasse thérapeutique.

Comment avez-vous intégré la méthode Allyane dans votre pratique quotidienne ?

 J’ai dédié des moments à Allyane et j’ai développé un réseau local avec des prescripteurs.

Actuellement j’ai 3 créneaux dédiés à Allyane par semaine.

J’ai également un réel partenariat avec l’institut de l’épaule à Strasbourg : je les sors d’impasses thérapeutiques avec des patients post-chirurgicaux ou non qui n’avaient pas de solution et en trouvent par le biais d’Allyane.

Le bouche-à-oreilles se fait maintenant sentir par les patients et j’ai quelques médecins qui ont testé la méthode qui commencent à m’envoyer des patients.

Pour quelles indications observez-vous le plus de résultats ?

 Il faut qu’il y ait une inhibition motrice, c’est un des bienfaits mais également une limite de la méthode. Il est en effet nécessaire pour adresser des patients que le diagnostic d’inhibition motrice soit bien posé.

Il est donc nécessaire d’avoir avec les prescripteurs soit la qualité de bilan qui permet d’identifier les inhibitions motrices, soit ce que je propose : faire une séance au préalable dans mon cabinet au cours de laquelle je fais un bilan pour voir si Allyane est indiquée ou non.

Je traite une majorité d’épaules du fait de mon partenariat avec l’institut de l’épaule à Strasbourg. On est au-delà de 90% de bons résultats à partir du moment où l’indication d’inhibition motrice est bien posée, quelle que soit l’articulation. Pour la majorité je traite donc les épaules, les genoux, membres inférieurs et un peu de lombalgies. Je commence également à accueillir des patients en neurologie. L’on commence à voir apparaître un réseau de patients avec le bouche à oreilles.

Recommanderiez-vous à vos confrères de se former ? Pourquoi ?

Évidemment. Cette sortie d’impasse dont je vous parle est extraordinaire. Quand on voit la réaction des patients après une séance Allyane l’on voit que l’on a un rôle médical mais également social ou médico-social. En effet, notamment dans le cadre de pathologies du membre supérieur, certains patients perdent leur activité professionnelle. Avec Allyane, on peut donc peut-être reprendre la route qui était tracée avant l’accident, et pour moi cela est extraordinaire.

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