« Ce qui est intéressant est de pouvoir débloquer une situation et suivre notre évolution. »

Retrouvez le témoignage de Pascal Maillé, directeur du centre médical de Clairefontaine et médecin traumatologue et de Guillaume Vassout, MKDE au Centre Médical de Clairefontaine, sur l’intégration de la méthode Allyane dans leur pratique quotidienne.

Pourquoi avez-vous décidé de vous former à la méthode Allyane ?

Pascal Maillé (P.M) : En tant que médecin traumatologue, j’ai été amené à suivre beaucoup de patients, et depuis un certain nombre d’années maintenant je suis persuadé qu’il faut les prendre en charge dans leur globalité, notamment sur le plan cognitif.

J’ai également constaté les AMI (Arthrogenic Muscle Inhibition) dans ma pratique clinique, et j’avais besoin d’outils qui me permettent d’avancer là-dessus, la rééducation classique était aussi parfois en situation d’échec.

À partir de là, et ayant pris connaissance de la méthode Allyane, j’ai souhaité qu’on puisse l’intégrer dans nos pratiques au Centre Médical de Clairefontaine.

Quel a été l’apport de la méthode dans la pris en charge de vos patients ?

Guillaume Vassout (G.V) : Ce qui est intéressant est de pouvoir débloquer une situation et suivre notre évolution. On est plus à même de trouver l’indication la plus pertinente pour faire la séance.

P.M :  Ce qui me semble important c’est de partir d’un diagnostic, à la fois par rapport à la pathologie, à l’articulation considérée, l’état du muscle, et également dans notre activité à Clairefontaine, l’intérêt d’Allyane est de pouvoir aller jusqu’à la fonction.

Comment avez-vous intégré la méthode Allyane dans votre pratique quotidienne ?

P.M : Sur la prise de décision nous avons un fonctionnement collectif avec un staff pour nos décisions stratégiques, au cours duquel on a décidé d’intégrer Allyane.

G.V : Sur la mise en place pratique nous sommes 5 kinés ainsi que le préparateur physique à être formés, on est dans une optique de travailler main dans la main avec lui dans sa fonction de réathlétisation. Ce qui est intéressant est de pouvoir mettre en place les séances Allyane à des moments stratégiques dans la journée, par rapport à un retour à la fonction sur terrain ou sur du renforcement musculaire.

Ce qui est également pertinent c’est que les joueurs restent toute la journée au Centre, donc on peut positionner les séances au moment où cela nous semble le plus pertinent par rapport à l’objectif que l’on recherche.

Se former à la méthode Allyane

Pour quelles indications observez-vous le plus de résultats ?

G.V : On a réalisé une trentaine de séances depuis notre formation il y a 6 mois. On a tout d’abord voulu consolider les séances les « plus simples » et qui nous permettaient de travailler sur la levée d’inhibition purement musculaire.

P.M : Les indications d’AMI sur des inhibitions de syndromes rotuliens ou rééducation de ligaments croisés, ou des flessums. Nous constations également les inhibitions motrices via les mesures EMG.

Recommanderiez-vous à vos confrères de se former ? Pourquoi ?

P.M : Sur le plan médecin, la réponse est oui. Le vrai combat qui va avec la recommandation de la méthode est la définition des inhibitions motrices, la connaissance par les praticiens des inhibitions motrices, parce-que pour bien prescrire un traitement et une méthode il faut bien connaître la pathologie. Je recommande donc la méthode en tant que médecin, mais à partir d’un diagnostic bien précis.

G.V : Pour confirmer ce que Pascal a dit, en tant que praticien je recommande la méthode Allyane si l’on a déjà des convictions de travailler dans quelque chose de positif, d’être toujours dans cette recjercje d’imagerie mentale, ce que nous faisions déjà avant. L’on peut dire qu’Allyane est venue structurer et donner une méthode à des pratiques empiriques qu’on avait et qui fonctionnaient, mais la méthode permet de crédibiliser cela et d’ouvrir sur des évaluations et des tests pour conforter les résultats obtenus par les séances.

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