L’inhibition motrice est un mécanisme naturel mis en place par le cerveau qui permet d’assurer le bon ajustement de la motricité, notamment en éliminant certains mouvements parasites. Elle n’est pas considérée comme un mécanisme dysfonctionnel, sauf lorsqu’elle tombe dans l’excès : elle devient alors pathologique. Une bonne prise en charge devient alors un facteur déterminant dans la rapidité de guérison du patient qui en est atteint. Si vous avez quelques doutes sur le fait de souffrir d’une inhibition motrice, voici une petite liste des symptômes les plus fréquemment observés, ainsi que les causes qui peuvent induire ce type de phénomène.

Une blessure survenue dans les 12 derniers mois

Certaines blessures survenues dans l’année peuvent induire une inhibition motrice. C’est le cas, notamment d’une rupture des ligaments croisés, d’une entorse à la cheville ou d’une luxation d’épaule. En effet, une prise en charge n’ayant pas été optimisée pour ce type de pathologie ou une immobilisation prolongée après la blessure peut induire l’apparition d’inhibition motrice chez le patient concerné. 

Les autres symptômes d’inhibitions motrices

Une inflammation, un œdème ou l’apparition de certaines douleurs au moment d’effectuer un mouvement ou liées à des compensations peuvent aussi être considérés comme des symptômes d’une inhibition motrice. N’hésitez pas à consulter votre médecin rééducateur ou kinésithérapeute si vous observez ce type de sensation de manière régulière à la suite d’une blessure, par exemple.

En résumé : 
les inhibitions motrices pathologiques présentent plusieurs types de symptômes qui peuvent varier en fonction du groupe musculaire et/ou de l’articulation atteinte. 
Le diagnostic d’un praticien est indispensable pour vous assurer que ces troubles résultent bien d’une inhibition motrice, et non d’une autre pathologie. 
La prise en charge rééducative est une solution indispensable pour vous permettre de retrouver une bonne motricité au quotidien. 

L’impact des symptômes d’une inhibition motrice au quotidien

Comme nous l’avons évoqué précédemment dans cet article, les symptômes d’une inhibition motrice peuvent avoir des conséquences importantes sur le quotidien d’une personne qui en souffre. 

D’une manière générale, c’est l’ensemble des tâches de la vie de tous les jours qui peuvent être difficiles, voire impossibles à réaliser pour une personne atteinte d’inhibition motrice. C’est la raison pour laquelle il est impératif d’assurer la bonne prise en charge de ce trouble pour accélérer le processus de guérison du patient.

Vous pensez souffrir d’une inhibition motrice ?

Si vous pensez souffrir d’une inhibition motrice, nous vous recommandons vivement de consulter votre médecin rééducateur ou du sport, kinésithérapeute ou ostéopathe. Celui-ci sera en mesure d’effectuer un premier diagnostic avant de vous orienter vers une prise en charge adaptée.

La prise en charge rééducative, couplée à une solution innovante comme la méthode de reprogrammation neuromotrice Allyane, peut vous permettre de solutionner vos inhibitions motrices, après un bilan effectué auprès d’un praticien certifié Allyane. En effet, notre méthode se base sur l’association de l’imagerie mentale, la proprioception et l’écoute de sons basse fréquence pour accélérer le retour à la mobilité des patients atteints d’inhibitions motrices.

N’hésitez pas à nous contacter pour obtenir plus d’informations au sujet de notre solution et/ou utilisez notre carte interactive pour trouver un praticien certifié Allyane proche de chez vous.