« Je m’aperçois qu’il y a beaucoup de patients avec des inhibitions motrices. »

Retrouvez le témoignage de Frédéric Cancel, médecin ostéopathe, médecin de MPR sur l’intégration de la méthode Allyane dans sa pratique. Récemment formé, il revient sur sa découverte d’Allyane, l’importance des inhibitions motrices dans la pratique et l’apport de la méthode auprès de ses patients.

Comment avez-vous découvert la méthode Allyane ?

J’ai eu connaissance de la méthode Allyane il y a deux ans et demi lors d’un congrès organisé au Centre des Massues de Lyon. Il y avait en effet un stand Allyane au milieu des autres exposants, et ça m’a attiré l’œil !

Je suis donc reparti avec une documentation en me disant qu’il faudrait que je m’intéresse à cette méthode un jour étant donné que ça me paraissait intéressant. N’était pas tout de suite disponible, j’ai mis un certain temps à me former, mais je suis bien content de le faire !

Je me suis renseigné sur internet et je me suis dit que j’allais faire la première formation d’initiation et qu’après je verrais. Finalement j’ai fait toute la formation dans la foulée !

Pourquoi vous êtes-vous senti concerné par la méthode Allyane & les inhibitions motrices ?

Par mon exercice au cabinet. En effet depuis le temps que j’exerce je vois des patients chroniques pour lesquels on est parfois un peu en bout de course, et on a l’impression de les entretenir sans vraiment les améliorer.

Il fallait donc trouver donc moyens qui existent, et j’avais le sentiment qu’Allyane pouvait en être un. Apprendre de nouvelles choses est toujours intéressant, et se mettre à une nouvelle activité est dynamisant.

Comment s’est passée l’intégration de la méthode Allyane auprès de vos patients ?

L’intégration n’a pas été si difficile que cela, contrairement à ce que je pensais. Au premier abord je me demandais où je pouvais trouver mes patients, en fait je les ai sous les yeux tous les jours. Je m’aperçois qu’il y a beaucoup de patients avec des inhibitions motrices.

C’était facile d’introduire la méthode au cabinet, surtout auprès des patients en bout de course, qui ne constatent pas de progrès depuis des années et des problèmes chroniques. Ces patients sont donc pleinement ouverts à essayer une nouvelle thérapeutique, même si elle est un petit peu plus couteuse que les autres et non remboursée. L’ancienneté, la gêne associée au problème font qu’ils n’hésitent plus.

Se former à la méthode Allyane 

Quel est l’apport de la méthode Allyane dans votre pratique quotidienne ?

L’amélioration de l’état des patients. Sur les premiers que j’ai traités, si je ne les ai pas tous améliorés à 100% j’ai l’impression que tous en ont retiré un bénéfice plus ou moins important, surtout sur la mobilité et la récupération de force.

Ce n’est pas forcément évident pour les tableaux douloureux, mais à partir du moment où on arrive à redonner de la force et de la mobilité, même si le geste reste un peu douloureux, les patients sont déjà contents de pouvoir le refaire, même s’il n’est pas totalement indolore.

C’est une grosse satisfaction pour eux, comme pour moi !

 Recommanderiez-vous à vos confrères de se former à la méthode Allyane ?

Je pense qu’ils auraient tout intérêt à s’y intéresser. L’on gagne une nouvelle vision sur le traitement des parthologies traumatiques, orthopédiques voire neurologiques.

C’est un nouvel horizon qui s’ouvre, je pense qu’il y a plein de choses à découvrir !