Retrouvez le témoignage de Corentin Lagrue, MKDE et praticien Allyane en Suisse. Il revient pour nous sur son parcours professionnel, sur les raisons qui l’ont amené à se former à la Méthode Allyane, et à l’apport de celle-ci dans sa prise en charge patient.
Pourquoi avez-vous décidé de devenir kinésithérapeute ?
Dans un premier temps le contact avec les personnes, le fait d’être tous les jours avec des personnes différentes, avec des situations différentes, des problématiques différentes, et de mettre en place le meilleur traitement possible pour améliorer le quotidien et la performance sportive de ces personnes.
Quel est votre parcours professionnel ?
J’ai tout d’abord commencé dans une clinique privée, pendant 2 ans et demi, dans laquelle il y avait une partie hospitalière, donc je voyais pas mal de patients en post-opératoire immédiat, après des ligamentoplasties, des prothèses. Il y avait aussi une partie cabinet, qui permettait également de voir des patients de l’extérieur, plutôt en orthopédie et en traumatologie.
J’ai pu me former pendant ces deux ans et demi sur la prévention des blessures, sur le retour sur le terrain pour les sportifs. J’ai également fait une formation sur la course à pied, en thérapie manuelle.
Après ces deux ans et demi, j’ai décidé de devenir indépendant et d’ouvrir mon cabinet.
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Pourquoi avoir suivi la formation à la Méthode Allyane ?
Je suis toujours resté en contact avec un formateur Allyane que j’avais rencontré au CERS de Capbreton, et puis des patients ont commencé à avoir besoin de cette méthode sans qu’il n’y ait de kinésithérapeute formé autour de moi, alors j’ai décidé de faire cette formation.
Quel est l’apport d’Allyane dans votre pratique ?
Pour moi, Allyane est une méthode innovante qui est indispensable dans ma façon de travailler, qui me permet d’aller encore plus loin dans la recherche des problématiques, et me permet de vraiment passer des cap dans des situations compliquées.
Quel est votre meilleur souvenir avec Allyane ?
J’ai beaucoup de bons souvenirs de mes séances de reprogrammation neuromotrice.
La dernière en date, c’était la semaine dernière avec un jeune patient de 33 ans qui a eu un grave accident de moto il y a plus d’un an. Il est venu me voir avec des inhibitions motrices du vaste interne et du vaste externe, et en plus il ne sentait plus rien du tout.
À la fin de la séance, il ressentait de nouveau son vaste interne et son vaste externe, entre-autres, il sentait à nouveau son quadriceps travailler, il ressentait des choses et pour lui ça a été incroyable.